1 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
1 ue soit respectée la Charte. 4°) Nous voulons une Assemblée européenne, où soient représentées les forces vives de toutes nos nat
2 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
2 à raison d’un député par million d’habitants, une Assemblée constituante de l’Europe. La motion recueillit neuf voix. Il y a beau
3 tout le monde est d’accord sur le principe d’une Assemblée européenne. Mais il est fort étrange que personne n’ait songé à le co
3 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
4 que soit respectée la Charte. 4) Nous voulons une Assemblée européenne, où soient représentées les forces vives de toutes nos nat
4 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
5 nements et parlements à convoquer cette année une Assemblée européenne. C’est maintenant — ou peut-être jamais — que le fédéralis
5 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Assemblée européenne (27 février 1949)
6 Demain l’Europe ! — L’ Assemblée européennee (27 février 1949)f Je vous disais vendredi soir, en in
7 r, nos débats se sont portés sur la question de l’ Assemblée européenne. Comme l’ont souligné tour à tour M. Spaak et M. Churchill
8 hurchill — et je cite ce dernier : « l’idée d’une Assemblée consultative européenne est devenue la politique adoptée par presque
9 es et des parlements. Nous voulons en effet que l’ Assemblée soit beaucoup plus qu’un simple corps consultatif. Nous voulons qu’el
10 goïsmes officiels. Nous voulons, en un mot, que l’ Assemblée européenne ne soit pas une demi-mesure, mais l’éclatante démonstratio
11 ons fait admettre la représentation, au sein de l’ Assemblée , des forces vives, non politiques, de nos pays, siégeant sur pied d’é
6 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Conseil de l’Europe (28 mars 1949)
12 ction immédiate en faveur de la convocation d’une Assemblée européenne. Le 18 août, nos délégués remettaient aux cinq puissances
13 uxelles un Mémorandum détaillé sur notre projet d’ Assemblée . Le même jour, ces propositions se voyaient acceptées sans réserve pa
14 hoisie comme siège du corps consultatif, et que l’ Assemblée serait convoquée dès cet automne. Rapidement, 5 nations nouvelles son
7 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
15 yait, comme prochaine étape, la convocation d’une Assemblée européenne, dont les membres seraient élus « dans leur sein ou au-deh
16 e de Bruxelles. Le 18 août notre Mémorandum sur l’ Assemblée européenne se voyait accepté sans réserve par le gouvernement françai
17 r au cours des mois prochains sur quatre points : Assemblée , Cour des droits de l’homme, mesures économiques, Centre de la cultur
18 ésence : nos plans, les résistances à vaincre. L’ Assemblée . — Les fédéralistes ayant fait triompher à La Haye le principe d’une
19 « Corps consultatif » accepté par les Cinq : à l’ Assemblée constituante de l’Europe, qui pourra seule contraindre les États à s’
20 elle de M. Bevin) tend, au contraire, à réduire l’ Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit Congrès d’experts nommés par
21 sistera à transformer le « Corps consultatif » en Assemblée constituante. Cour des droits de l’homme. — On sait qu’une Charte de
8 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — « Une idée généreuse » ? (4 avril 1949)
22 es jours-ci se décide, en silence, le statut de l’ Assemblée consultative de l’Europe qui siégera, dès l’automne, à Strasbourg. Ce
9 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Allemagne et l’Europe (11 avril 1949)
23 vient de demander que l’Allemagne soit reçue à l’ Assemblée consultative de l’Europe, dès cet automne, sur pied d’égalité. Nous s
10 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Pâques européennes (18 avril 1949)
24 nous avait laissés entendre que les statuts de l’ Assemblée européenne seraient terminés ces jours-ci, à Londres. Il eût été bien
25 aurons certainement le Conseil de l’Europe, et l’ Assemblée consultative. Certainement, l’Europe va se faire. La seule question q
11 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
26 nous avait laissés entendre que les statuts de l’ Assemblée européenne seraient terminés ces jours-ci, à Londres. Il eût été bien
27 aurons certainement le Conseil de l’Europe, et l’ Assemblée consultative. Certainement, l’Europe va se faire. La seule question q
28 ut. Il est sympathique et très pur. Il rêve d’une Assemblée mondiale et d’un gouvernement unique pour toute la terre. Mais les Ru
29 ys fondateurs de l’union européenne préparent une Assemblée consultative de l’Europe, qui doit se tenir en septembre, et dont les
12 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’URSS et l’Europe fédérée (2 mai 1949)
30 bliera les statuts du Conseil de l’Europe et de l’ Assemblée consultative. À Berne, on reste calme, mais un peu plus chaud : le Co
13 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Statut du Conseil de l’Europe (9 mai 1949)
31 tres des Affaires étrangères, et d’autre part une Assemblée . Le Conseil des ministres doit siéger à huis clos, et il admet le dro
32 e la Ligue des Nations ou de l’ONU. Mais il y a l’ Assemblée consultative, et c’est là que le fédéralisme européen marque un point
33 européen marque un point vraiment décisif. Cette Assemblée siégera dans trois mois à Strasbourg. Elle sera composée de députés d
34 stade des intérêts nationalistes. Les débats de l’ Assemblée seront publics. Les décisions de l’Assemblée, bien qu’elles n’aient q
35 de l’Assemblée seront publics. Les décisions de l’ Assemblée , bien qu’elles n’aient qu’une valeur consultative, retentiront dans l
36 voulons davantage ! Nous voulions une plus vaste Assemblée , comprenant 300 députés : on nous accorde avec difficulté un Parlemen
37 7 membres, c’est mesquin. Nous voulions que cette Assemblée puisse traiter librement de toute question intéressant les citoyens e
38 nous voulions enfin, nous le voulons encore, une Assemblée constituante, or celle-ci ne sera qu’un corps consultatif. Notre idéa
14 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La neutralité suisse (23 mai 1949)
39 lundi dernier. Dans trois mois, à Strasbourg, une Assemblée consultative, désignée par les parlements de 12 ou 13 pays européens,
15 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
40 efforts, lorsque s’ouvrira, dans Strasbourg, une Assemblée parlementaire du Continent. Mais toutes les constructions économiques
16 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Faisons le point (4 juillet 1949)
41 périr. Le congrès de La Haye demanda donc qu’une Assemblée européenne fût convoquée, comme première condition de l’union. Bien p
42 ation plutôt qu’aux camps de concentration. Cette Assemblée consultative de l’Europe, je vous l’ai dit lorsqu’elle fut décidée, c
43 ’est pas encore rendu compte de l’importance de l’ Assemblée . Souhaitons qu’il se réveille avant qu’il soit trop tard ! L’Europe n
44 , s’est montré décisif lors des négociations de l’ Assemblée . Et dans nos comités européens, nous avons avec nous les grands aînés
45 eux seront choisis les représentants français à l’ Assemblée consultative de Strasbourg. Dans les autres pays, nous trouvons égale
17 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un bel été (19 septembre 1949)
46 es deux à la fois souvent dans le même article. L’ Assemblée s’est-elle montrée trop timide ou trop téméraire ? L’expérience est-e
18 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La dévaluation et la bombe soviétique (26 septembre 1949)
47 conséquence, des premiers résultats acquis par l’ Assemblée consultative de Strasbourg. Mais deux événements importants se sont p
48 ne l’a mieux dit que M. Spaak, le président de l’ Assemblée , lorsqu’il s’est écrié dans son discours final : « Je suis venu ici p
19 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
49 ux à la fois, souvent dans le même article. Que l’ Assemblée se soit montrée timide ou au contraire téméraire, que l’expérience so
50 é des ministres ne dicte pas l’ordre du jour de l’ Assemblée  ; constituer des commissions permanentes ; délimiter une majorité et
51 les deux dangers majeurs qui guettaient la jeune Assemblée . Le premier eût consisté dans un clivage vertical, par délégations na
52 ’en créer un nouveau : le clivage horizontal de l’ Assemblée selon les affinités des partis, par-dessus les frontières. Là encore,
53 la Commission des affaires générales, élue par l’ Assemblée dès le 20 août, s’est engagée sans le moindre délai, dans l’étude des
54 ux députés européens. Dès sa prochaine session, l’ Assemblée sera saisie d’un plan dont le président de la Commission, M. Bidault,
55 sur l’abandon des privilèges féodaux des États, l’ Assemblée , fort sagement, s’est tournée vers les créations nécessaires. Le gran
56 ’origine normale du pouvoir à créer réside dans l’ Assemblée elle-même, dont le Comité des ministres, élargi, devrait former la Ch
57 ente de vingt-huit membres, élue par cette double Assemblée , pourrait alors préfigurer le Cabinet fédéral de l’Union. Sans préjug
58 ats atteints au terme de la première session de l’ Assemblée . Celle-ci a conquis tout d’abord la liberté de fixer ses ordres du jo
59 vement européen. Bien plus, l’existence même de l’ Assemblée et la rapidité de ses premières opérations doivent être attribuées en
60 ement européen, ou s’il devait passer la main à l’ Assemblée . C’est peut-être chanter victoire un peu trop tôt. Il reste encore à
61  : la Constitution fédérale. Les commissions de l’ Assemblée la proposeront, mais les gouvernements et parlements nationaux en dis
62 Car l’essentiel n’est plus de changer le nom de l’ Assemblée consultative pour qu’elle devienne en fait constituante, mais bien d’
63 vateurs américains qui assistait aux travaux de l’ Assemblée , et qui a pu voir notre Mouvement à l’œuvre, s’écriait à Strasbourg :
20 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — « Êtes-vous satisfait de Strasbourg ? » (3 octobre 1949)
64 la réalité la plus pressante ; il était bon que l’ Assemblée européenne s’ouvrît non pas dans des palaces parmi les touristes mill
65 ’ai consacré mes jours et pas mal de mes nuits. L’ Assemblée ne siégeait que depuis une semaine, lors de ma première visite. Mais
66 ula, et j’ai senti, après quelques minutes, que l’ Assemblée se portait bien, que le bébé s’annonçait robuste et décidé à réclamer
67 e coutumier. Il venait d’obtenir le droit, pour l’ Assemblée , de fixer ses ordres du jour, sans demander l’avis du Conseil des min
68 Allemagne, et proposait une nouvelle réunion de l’ Assemblée , pendant l’hiver. M. Spaak présidait avec rondeur, réplique vivante d
69 ’un Churchill rajeuni. Et je reconnaissais dans l’ Assemblée tant de visages bien connus de camarades de lutte, depuis deux ans, q
70 nstatation est importante car elle signifie que l’ Assemblée est portée, animée et nourrie par l’élan de nos militants, dans tous
71 opéen, grâce à son action quotidienne autour de l’ Assemblée , dans ses couloirs, et au sein même des délibérations, qu’on a pu sen
72 ux, remplissait le reste du parterre, entourait l’ Assemblée , la serrait de près, et l’on peut y voir un symbole… Il y en avait bi
73 nnées pour mûrir ce projet d’utopie. Et certes, l’ Assemblée consultative n’est pas encore dotée des pouvoirs nécessaires : mais e
74 du siècle. Je vous dirai lundi prochain ce que l’ Assemblée a fait en réalité, et ce qui doit en sortir au cours des mois qui vie
21 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les résultats de Strasbourg (10 octobre 1949)
75 temps que j’en arrive aux résultats acquis par l’ Assemblée consultative de Strasbourg, à la fin de sa première session. Je voudr
76 le crois, et j’en veux pour preuve le fait que l’ Assemblée , en quelques jours, a su montrer sa volonté de devenir un vrai parlem
77 t non pas du point de vue de leur seule nation, l’ Assemblée a ébauché l’image d’une communauté de nos peuples par-dessus les fron
78 ir législatif en puissance. Forte de ce succès, l’ Assemblée a aussitôt proposé la création d’un pouvoir judiciaire européen. De q
79 nergique Pierre-Henri Teitgen, qui a présenté à l’ Assemblée le projet d’une Cour suprême des droits de l’homme, tel que notre Mou
80 déral de la Suisse. Dans le domaine économique, l’ Assemblée a proposé un certain nombre de mesures tendant à la libre circulation
81 nion économique demandée par Strasbourg. Enfin, l’ Assemblée a émis, à l’unanimité, un certain nombre de vœux pratiques tels que l
82 mais ils sont appuyés par la volonté unanime de l’ Assemblée consultative. Or celle-ci se compose de députés régulièrement élus pa
83 g. Vous voyez donc que malgré son titre modeste d’ Assemblée consultative, le Parlement de Strasbourg peut devenir un instrument t
84 teurs américains qui assistaient aux travaux de l’ Assemblée et qui ont pu voir notre Mouvement à l’œuvre dans les coulisses, s’éc
85 oses stupéfiantes pour nous autres Américains ! L’ Assemblée existe, elle travaille, et vous avez obtenu tout cela sans moyens mes
22 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et Strasbourg (II) (14 novembre 1949)
86 Conseil de l’Europe, et d’envoyer des députés à l’ Assemblée consultative, mais encore, la neutralité, que nous sommes tous prêts
23 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Encore notre neutralité (21 novembre 1949)
87 aille avec l’intention nette de défendre devant l’ Assemblée l’idée de la neutralité européenne. Personne ne peut savoir si nous r
24 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les suites de Strasbourg (28 novembre 1949)
88 ques fédéralistes qui osaient lancer l’idée d’une Assemblée consultative et d’un Conseil de l’Europe, passaient pour des excités
89 Conseil de l’Europe, existe bel et bien, et que l’ Assemblée a déjà fait du bon travail, au cours de sa première session. Mais, di
90 peuvent être données que par les gouvernements, l’ Assemblée n’ayant pour le moment d’autre pouvoir que celui de proposer, tandis
91 à la convocation de commissions permanentes de l’ Assemblée , travaillant entre les sessions. Mais la riposte de l’Assemblée ne s’
92 vaillant entre les sessions. Mais la riposte de l’ Assemblée ne s’est pas fait attendre. Au lendemain de la publication des décisi
93 st le président. Et la commission permanente de l’ Assemblée , qu’anime et préside M. Spaak, a fait entendre qu’elle ne comptait pa
94 istres. C’est donc à une épreuve de force entre l’ Assemblée et le Comité des ministres que nous assistons actuellement. Je vous i
95 tons actuellement. Je vous invite à parier pour l’ Assemblée . Et j’ai pour cela trois raisons. Je pense que l’Assemblée gagnera la
96 . Et j’ai pour cela trois raisons. Je pense que l’ Assemblée gagnera la partie à l’usure, parce que celui qui sait ce qu’il veut g
97 ment ce qu’il ne veut pas. Je pense ensuite que l’ Assemblée gagnera grâce à l’appui des parlements nationaux, qui l’ont nommée, e
98 ont les ministres dépendent. Je pense enfin que l’ Assemblée gagnera parce qu’elle aura, de plus en plus, l’appui de l’opinion pub
25 1949, {Title}. Présentation du Rapport général de la Conférence européenne de la culture à Lausanne (8 décembre 1949)
99 . Enfin, au mois de septembre de la même année, l’ Assemblée consultative de Strasbourg votait à l’unanimité une recommandation fa
26 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Bilan 1949 (26 décembre 1949)
100 t s’ouvrait à Strasbourg la première session de l’ Assemblée consultative européenne. Elle se terminait par le vote d’une série de
101 un veto plus ou moins déguisé aux desiderata de l’ Assemblée . Mais celle-ci décidait de passer outre, et de poursuivre des travaux
102 n. Sans lui, nous n’aurions pas même obtenu cette Assemblée consultative, dont nous sommes les premiers à savoir les lacunes, mai
27 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
103 . Enfin, au mois de septembre de la même année, l’ Assemblée consultative de Strasbourg votait à l’unanimité une recommandation fa
28 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Europe n’est pas pour « demain » (13 mars 1950)
104 lgré l’opposition du Comité des ministres. Mais l’ Assemblée ne se réunira pas avant le mois de juillet, et il lui reste encore à
29 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Deux enquêtes sur l’union (27 mars 1950)
105 est approuvé, mais tout le monde voudrait que son Assemblée ait beaucoup plus de pouvoir, et son Comité des ministres beaucoup mo
30 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les politiciens et l’Europe (3 avril 1950)
106 République fédérale de Bonn à venir siéger dans l’ Assemblée consultative, qui doit se réunir au mois d’août à Strasbourg, pour sa
31 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Avant Strasbourg (26 juin 1950)
107 èrement élus par 15 parlements de l’Europe, cette Assemblée consultative porte le grand espoir fédéraliste : on verra, cet été, s
108 e digne. On le verra d’une manière précise. Car l’ Assemblée sera saisie d’une proposition capitale, tendant à instituer, au-dessu
32 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
109 ions que le temps presse et que les lenteurs de l’ Assemblée , ramenées par les ministres à l’immobilité, sont la pire imprudence d
110 n éternuement des daltoniens. Elle voit que votre Assemblée consultative d’un Comité lui-même consultatif, formé de ministres qui
111 s vieillards ont l’humeur proverbiale, mais votre Assemblée est trop jeune. Je lui propose quelques slogans nouveaux et quelques
33 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
112 e sentiment des peuples en face de l’inertie de l’ Assemblée . Ce n’était pas une attaque : je décrivais ce qu’un chacun peut voir
34 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
113 Quatrième lettre Messieurs de l’ Assemblée consultative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’
114 pe. Et cela produit des résultats bizarres. Votre Assemblée , selon lui, peut faire du bon travail, pourvu qu’elle n’ait aucun pou
115 socialisme anglais. Il en découle primo : qu’une Assemblée sans majorité travailliste ne saurait être tolérable que dans la mesu
35 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
116 ons que le temps presse, et que les lenteurs de l’ Assemblée , ramenées par les ministres à l’immobilité, sont la pire imprudence d
117 n éternuement des daltoniens. Elle voit que votre Assemblée consultative d’un comité lui-même consultatif, formé de ministres qui
36 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
118 e sentiment des peuples en face de l’inertie de l’ Assemblée . Ce n’était pas une attaque, je décrivais ce qu’un chacun peut voir d
37 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
119 du Labour Party (18 août 1950)s Messieurs de l’ Assemblée consultative, Quelqu’un qui ne se sent pas le député de Mozart, ni d’
120 pe. Et cela produit des résultats bizarres. Votre Assemblée , selon lui, peut faire du bon travail, pourvu qu’elle n’ait aucun pou
121 socialisme anglais. Il en découle primo : qu’une Assemblée sans majorité travailliste ne saurait être tolérable que dans la mesu
38 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un été orageux (9 septembre 1950)
122 , s’ouvrait à Strasbourg la deuxième session de l’ Assemblée consultative européenne. Et Churchill demandait la création immédiate
39 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’atmosphère de Strasbourg (11 septembre 1950)
123 s Affaires étrangères des États membres, et d’une Assemblée consultative de 125 députés, élus par les parlements nationaux. Le rô
124 , élus par les parlements nationaux. Le rôle de l’ Assemblée consiste à étudier et à voter toutes mesures tendant à unir l’Europe.
125 istériel consiste à examiner les résolutions de l’ Assemblée , et à les refuser régulièrement, sur la demande des Anglais. Après qu
126 Anglais. Après quoi les résolutions renvoyées à l’ Assemblée sont étudiées à nouveau, et soumises à des experts, lesquels réponden
127 n jour se fatigueront peut-être de dire non. Et l’ Assemblée , un jour, peut se révolter contre le sempiternel veto de M. Bevin. El
128 rivais lundi dernier, cette deuxième session de l’ Assemblée fut beaucoup plus passionnée que l’an dernier. On sentait que les cho
129 ent au nom de l’opinion. Et l’on a vu enfin que l’ Assemblée réclamait plus énergiquement les droits que les ministres lui refusen
130 is, c’est un détail, mais qui a son importance, l’ Assemblée est chez elle, dans sa propre maison, qu’on lui a bâtie en quelques m
131 is quelques buts ont été marqués. Premièrement, l’ Assemblée a décidé de se réunir une seconde fois cette année, au mois de novemb
132 de maintenir l’opinion en alerte. Deuxièmement, l’ Assemblée s’est donné le droit d’aborder les questions militaires, de parler de
133 e représentent, à vrai dire, qu’une minorité de l’ Assemblée . Mais ils se sentent soutenus par l’opinion publique. Des groupes de
134 nquiétude. À la veille de la première séance de l’ Assemblée , ils s’étaient réunis à la frontière franco-allemande, pour brûler le
40 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’armée européenne (18 septembre 1950)
135 répondre au défi de l’Histoire ? La session de l’ Assemblée s’est ouverte par un grand discours de Churchill. Le sujet de ce disc
136 urchill eut terminé son discours de Strasbourg, l’ Assemblée tout entière lui fit une ovation, et vota sa motion par 89 voix contr
137 ’abstentions. C’était trop beau pour être vrai. L’ Assemblée ne tarda point à se ressaisir, c’est-à-dire à revenir aux réalités, q
138 server que l’article 1, alinéa d des statuts de l’ Assemblée lui interdisait de s’occuper des problèmes militaires de l’Europe. M.
139 llistes qu’intelligents… Arrêtée par un alinéa, l’ Assemblée décida de ne rien faire de sérieux, c’est-à-dire d’affirmer qu’il éta
140 roblème reste donc posé. On ne saurait dire que l’ Assemblée ait résolu de le résoudre, et encore moins qu’elle ait vraiment tenté
41 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Une autorité politique européenne (25 septembre 1950)
141 fortement contribué à transformer l’ambiance de l’ Assemblée , à faire sentir à plusieurs députés que l’opinion publique les suivai
142 des fédéralistes. Ceux-ci ne sont encore, dans l’ Assemblée , qu’une minorité certes très remuante, mais réduite à peu de chose qu
143 ès clairement, à Strasbourg, qu’une fraction de l’ Assemblée ne voulait pas qu’on aboutisse à rien de sérieux. Je veux parler des
144 é, je terminerai par les précisions suivantes : L’ Assemblée a fini par se mettre d’accord pour proposer au Comité des ministres l
145 fin de novembre, seulement, que nous saurons si l’ Assemblée a fait quelque chose de concret, ou si elle a seulement fait semblant
42 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Serment de Strasbourg (2 octobre 1950)
146 serment devait être prêté hors de l’enceinte de l’ Assemblée , en présence de la population. Déjà la presse en parlait par allusion
147 blique était incompatible avec la discipline de l’ Assemblée . Le groupe français lui-même se divisa. Bref, il ne resta plus que 12
43 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
148 éputés réunis à Strasbourg. La session d’été de l’ Assemblée européenne est terminée. Mais ces lettres d’avertissement demeurent.
44 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Un Conseil européen de vigilance (13 novembre 1950)
149 un double avantage. D’une part, il permettait à l’ Assemblée de tenir deux sessions au lieu d’une, et cela sans violer son règleme
150 il a refusé la majorité des recommandations de l’ Assemblée , et renvoyé le reste à des experts. Ce qu’il n’ose pas tuer, il l’ent
151 s, la seconde partie de la session régulière de l’ Assemblée européenne. Elle ne doit durer qu’une semaine. Mais c’est, au cours d
152 risse ? Quoi qu’il en soit, je ne pense pas que l’ Assemblée fera beaucoup plus que répéter que la prudence est la mère des vertus
153 st-à-dire la composition de nos troupes, face à l’ Assemblée . L’Union fédéraliste interuniversitaire, qui groupe des étudiants de
154 eu — moralement s’entend — dans les couloirs de l’ Assemblée , dans le public des séances, et parmi la population. Ils forment le «
155 e. Ce conseil comprendra autant de délégués que l’ Assemblée officielle avec ses suppléants : 250. Mais ces délégués ne seront pas
156 dresser contre les prudences et la paralysie de l’ Assemblée , la revendication du réalisme et de l’espoir européen : c’est-à-dire
45 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — À Strasbourg (21 novembre l950)
157 ise, je pourrais dire : qu’est-ce que c’est que l’ Assemblée européenne ? Rien. Que dit-elle être ? Tout. Que peut-elle faire ? Qu
158 ants avant l’ouverture de la première séance de l’ Assemblée , le comte Sforza, ministre italien des Affaires étrangères, retrouvai
159 lus tard, le même Comte Sforza défendait devant l’ Assemblée le point de vue du Comité des ministres qu’il préside et qui refuse e
160 fait toutes les propositions d’union faites par l’ Assemblée  ; puis il ajoutait, en son nom personnel, une profession de foi fédér
161 puis le dire, d’heure en heure. La pression sur l’ Assemblée et sur ses commissions s’accroît. Beaucoup de signes font sentir que
162 mier but est d’exercer une pression maximum sur l’ Assemblée pour qu’elle décide de former sans délai une fédération continentale,
163 vendiquer une plus grande légitimité morale que l’ Assemblée . Demain matin, un très grand nombre des députés de l’Assemblée réguli
164 main matin, un très grand nombre des députés de l’ Assemblée régulière feront leur entrée en cortège dans la grande salle de l’Ora
46 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Jeunesse d’Europe (27 novembre 1950)
165 ver quelques communiqués sur certains débats de l’ Assemblée , choisis comme par hasard, tous les deux ou trois jours. Mais ces éch
166 ésentèrent une requête à M. Spaak, président de l’ Assemblée . Ils demandaient à lire eux-mêmes un message aux représentants réunis
167 : faites l’Europe !j Le message demandait que l’ Assemblée se prononce en faveur d’un Pacte fédéral. « Si vous avez le courage d
47 1950, {Title}. Sixième lettre aux députés européens (décembre 1950)
168 que les fonctionnalistes proposent sans rire à l’ Assemblée  : étant donné un but précis, qui est la fédération des peuples de l’E
48 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — État de la construction européenne (4 décembre 1950)
169 bre, toutes les mesures concrètes que proposait l’ Assemblée . Mais celle-ci est revenue à la charge, 15 jours plus tard, avec une
170 par la haute tenue et le sérieux des débats de l’ Assemblée sur le plan Schuman et sur l’armée européenne. Je me disais, en les é
49 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Sur l’opinion en général et la presse en particulier (11 décembre 1950)
171 près page, et je trouve ceci : Informations sur l’ Assemblée  : zéro Informations sur le discours Schuman : zéro Informations sur l
172 lecteurs suisses ont pu percevoir un reflet de l’ Assemblée européenne, et savoir qu’elle délibérait, du 17 au 24 novembre. Tels
173 urg a déçu, jusqu’ici. On trouve en général que l’ Assemblée est trop timide dans ses résolutions. On en déduit que ses efforts ne
174 ecteurs. Ceux-ci ne lisant pas de nouvelles sur l’ Assemblée , se persuadent qu’on n’y fait rien du tout. Et les députés à leur tou
50 1951, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
175 inistre français, déplorant, à juste titre, que l’ Assemblée européenne fût privée du droit de s’occuper des choses militaires et
176 poir ironique, et très sûr de son effet : « Notre Assemblée , Messieurs, se voit réduite à parler de questions culturelles. Cela m
51 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
177 ser, en tant que source de la Constitution, cette Assemblée ad hoc que vous avez créée. Pratiquement, le sort de l’Europe serait
52 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
178 stré par le système bicaméral institué en 1848. L’ Assemblée fédérale, pouvoir législatif et autorité suprême de la Confédération,
179 nférieure à 11 000.) Les deux Chambres réunies en Assemblée nationale élisent le Conseil fédéral, son président, les membres du Tribunal fé
180 compétence. Soulignons enfin que les membres de l’ Assemblée fédérale ne sont jamais liés par les instructions que leur aurait don
181 isse. Ses membres sont élus pour quatre ans par l’ Assemblée et sont immédiatement rééligibles. Chacun d’entre eux dirige un minis
182 l « présente des projets de lois ou d’arrêtés à l’ Assemblée fédérale et donne son préavis sur les propositions qui lui sont adres
53 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
183 La constitution d’un Conseil de l’Europe et d’une Assemblée consultative ne peut laisser indifférents les « gardiens du Gothard »
54 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
184 quie), Clark (Royaume-Uni). Des observateurs de l’ Assemblée consultative, du Comité des délégués des ministres, du Comité des exp
185 us la présidence de M. de Menthon, président de l’ Assemblée consultative, et en présence de M. Pella, président du Conseil italie
55 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
186 te, laquelle n’avait guère plus de pouvoirs que l’ Assemblée consultative de Strasbourg. Composée d’ambassadeurs des cantons souve
56 1954, {Title}. L’Europe en crise : décadence ou progrès ? (fin août 1954)
187 aux gouvernements la requête tendant à créer une Assemblée européenne. Neuf mois plus tard, l’enfant naissait, au palais Saint J
57 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
188 ropéen de la Défense ; une Cour de justice et une Assemblée parlementaire, qui existent déjà : ce seraient en effet la Cour et l’
189 existent déjà : ce seraient en effet la Cour et l’ Assemblée du plan Schuman. Voilà donc amplement assurés le contrôle national et
58 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
190 ète, laquelle n’avait guère plus de pouvoir que l’ Assemblée consultative de Strasbourg. Composée d’ambassadeurs des cantons souve
59 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
191 de M. Churchill. Il demanda la convocation d’une Assemblée parlementaire européenne. L’année suivante, cette Assemblée se réunit
192 parlementaire européenne. L’année suivante, cette Assemblée se réunit pour la première fois à Strasbourg et un Comité de ministre
60 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
193 rait plus qu’étrange qu’on puisse l’arrêter là. L’ Assemblée constituante est sa prochaine étape. Un Pouvoir fédéral devrait en ré
61 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
194 tape conduisant à la fédération : l’élection de l’ Assemblée chargée d’élaborer le statut politique des peuples fédérés de toute l
195 . Résumons encore ce schéma : 1. Tous veulent une Assemblée élue au suffrage universel. 2. Tous veulent que cette Assemblée élabo
196 au suffrage universel. 2. Tous veulent que cette Assemblée élabore le statut politique ou la Constitution de l’Europe fédérée. O
197 ains ne veulent élire au suffrage universel que l’ Assemblée des trois Communautés (CECA, CEE, Euratom), actuellement nommée par l
198 nationaux. Tandis que d’autres veulent élire une Assemblée non prévue par le traité de Rome, mais chargée des mêmes attributions
199 ensemble et sans plus de délais l’élection d’une Assemblée européenne chargée de doter nos peuples d’un pouvoir politique commun
62 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
200 re sainte qu’Anacharsis Cloots est venu inviter l’ Assemblée nationale , au nom du genre humain dont il n’a jamais mieux mérité d’être appelé
63 1961, {Title}. Découvrons l’Europe (août 1961)
201 à La Haye en mai 1948, demande la création d’une Assemblée et la mise en commun de nos ressources. Grâce à l’action prudente de
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
202 onomie des États membres. Il porte création d’une Assemblée votant à la majorité simple ; d’une Cour de Justice ; d’une procédure
203 indre étant donné cette amitié et charité), notre Assemblée ci-dessous désignée doit, au nom de tous ceux qui figurent dans ce tr
204 nsuite indiqués : Cour de justice ou Consistoire, Assemblée , enfin force armée commune, ainsi que la manière de la financer et de
205 e de Consistoire général qui siégera au lieu où l’ Assemblée elle-même se trouvera pour le moment, et d’où, comme d’une source, dé
206 ité des personnes et des statuts, selon que notre Assemblée ci-dessous désignée ou la majorité de celle-ci l’aura arrêté et décid
207 s décidons que, d’un commun accord de toute notre Assemblée ou de la majeure partie de celle-ci, on fixera à quel moment il convi
208 comment le traité prévoit le fonctionnement de l’ Assemblée fédérale, pièce maîtresse de la construction : Item, afin que ce qu
209 l’Assemblée de Bâle une fois écoulés, cette même Assemblée se réunira et siégera au cours des cinq ans immédiatement suivants da
210 une rotation de cinq en cinq ans jusqu’à ce que l’ Assemblée elle-même ou la majorité de celle-ci juge devoir en ordonner et dispo
211 juge devoir en ordonner et disposer autrement, l’ Assemblée elle-même ait un seul conseil propre et spécial, qu’un seul président
212 temps que mère et mixte empire, selon que ladite Assemblée ou la majorité de celle-ci l’aura arrêté et décidé ; qu’enfin il ait
213 its, nous décidons que, dans quelque nation que l’ Assemblée elle-même se trouve pour le moment, on mettra à la tête des principau
214 , on mettra à la tête des principaux offices de l’ Assemblée des hommes qui soient issus et originaires de cette même nation, et e
215 ois et princes de la Gaule, ayons une voix dans l’ Assemblée elle-même, nous, rois et princes de Germanie, une autre, et nous, dog
216 ils aient eux-mêmes semblablement une voix dans l’ Assemblée , dans son corps et son Collège ; mais si, entre les ambassadeurs des
217 erçues par l’Église, soient désormais versées à l’ Assemblée , nouveau défenseur de la Foi ! Poliment écarté par Louis XI, expressé
218 iebrad avait proposé de réunir à Bâle la première Assemblée fédérale ! — il ne trouva qu’une cohue d’aventuriers sans armes ni ch
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
219 abominé ou moqué en un autre. Crucé imagine une Assemblée ou Sénat permanent des États : Posez le cas que la paix aujourd’huy
66 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
220 orientaliste, philosophe et écrivain, député à l’ Assemblée nationale mais emprisonné par la Révolution, finalement sénateur et pair de Fra
67 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 1. La Révolution française et l’Europe
221 n une phrase dans son discours du 15 mai 1790 à l’ Assemblée nationale  : Il est de l’intérêt des nations de protéger la nation française, p
222 re sainte qu’Anacharsis Cloots est venu inviter l’ Assemblée nationale , au nom du genre humain dont il n’a jamais mieux mérité d’être appelé
223 oluques, je conçois la facilité avec laquelle une Assemblée séante à Paris conduirait le char du genre humain. La formule fédéra
68 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
224 urd’hui et pour longtemps je puis tranquilliser l’ Assemblée en lui donnant l’assurance qu’elle n’a pas le moindre danger à redout
69 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 2. Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
225 e. C’est dans son discours du 17 juillet 1851 à l’ Assemblée législative, lors d’un débat sur la révision de la Constitution, qu’i
70 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
226 que soit respectée la Charte. 4° Nous voulons une Assemblée européenne, où soient représentées les forces vives de toutes nos nat
227 de 1930 trouvent en effet leur réalisation dans l’ Assemblée consultative, le Comité des ministres, le secrétariat et la Cour des
71 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
228 ieur aux États — nous dirions supranational ; une Assemblée , ou Conseil de l’Europe ; des mesures économiques prises à l’échelle
229 d’abord un extrait du discours qu’il prononce à l’ Assemblée législative française en 1851 ; je cite le journal officiel : M. Hug
230 e, doté d’une Cour des droits de l’Homme et d’une Assemblée européenne. Neuf mois plus tard, le Conseil de l’Europe et la Cour so
231 Conseil de l’Europe et la Cour sont créés. Puis l’ Assemblée (seulement consultative, hélas) est inaugurée à Strasbourg. La commis
72 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
232 rait plus qu’étrange qu’on puisse l’arrêter là. L’ Assemblée constituante est sa prochaine étape. Un Pouvoir fédéral devrait en ré
73 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
233 orrespondante au sein des pouvoirs législatifs. L’ Assemblée fédérale se compose donc d’une Chambre des députés européens et d’un
234 omie reconnue. Les affaires de la compétence de l’ Assemblée sont toutes celles qui relèvent expressément de la fédération : légis
235 rales. Ses membres sont élus pour trois ans par l’ Assemblée européenne et sont rééligibles. On ne peut choisir plus d’un membre d
236 re dans le même pays. Son président est élu par l’ Assemblée . Il porte le titre de président de la fédération d’Europe. Le Conseil
237 tés par le Conseil fédéral et soumis au vote de l’ Assemblée (éventuellement au référendum) qui peut les rejeter ou les modifier,
74 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
238 articles de la Constitution de 1848, chargeant l’ Assemblée fédérale puis le Conseil fédéral de « veiller au maintien de l’indépe
239 f. sur tout cela le Rapport du général Guisan à l’ Assemblée fédérale sur le service actif, 1939-1945. Relevons que selon le génér
75 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
240 oi fondamentale de la Confédération suisse ». — L’ Assemblée fédérale, élue pendant le mois d’octobre, se réunit à Berne le 6 nove
76 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Deuxième partie. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — 1. Les institutions et la vie politique
241 s d’Amérique, et non pas à la Grande-Bretagne. L’ Assemblée fédérale, pouvoir législatif et autorité suprême de la Confédération,
242 omaine à son compte. Les deux Chambres réunies en Assemblée nationale élisent le Conseil fédéral, son président, les membres du Tribunal fé
243 compétence. Soulignons enfin que les membres de l’ Assemblée fédérale ne sont jamais liés par les instructions que leur aurait don
244 isse. Ses membres sont élus pour quatre ans par l’ Assemblée et sont immédiatement rééligibles. Chacun d’entre eux dirige un minis
245 l « présente des projets de lois ou d’arrêtés à l’ Assemblée fédérale et donne son préavis sur les propositions qui lui sont adres
246 r fraction [nom donné aux groupes politiques] à l’ Assemblée fédérale. Pour l’essentiel, ces messieurs purent se convaincre de la
77 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
247 n156. Nous songions à Versailles comme siège de l’ Assemblée  : ce symbole de l’absolutisme, puis des règlements de comptes nationa
248 de l’Europe privé de tous pouvoirs et doté d’une Assemblée purement consultative, formée de députés désignés par les parlements
249 proposant l’élection au suffrage universel d’une Assemblée européenne. Il n’avait recueilli que six voix. (Le général de Gaulle
250 tour l’élection par le « peuple européen » d’une Assemblée , mais ils la voudraient constituante. Or il est clair qu’une Assemblé
251 a voudraient constituante. Or il est clair qu’une Assemblée ne saurait innover, imaginer ni vraiment créer quoi que ce soit. Un t
252 ci et maintenant, décider que soit constituée une Assemblée européenne… » 159. Cette intervention en faveur du Centre européen d
78 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
253 es prédictions alarmistes de M. Mendès-France à l’ Assemblée nationale . On constate au contraire que les travailleurs ne se déplacent en gén
79 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
254 e, doté d’une Cour des droits de l’homme et d’une Assemblée européenne. Neuf mois plus tard, le Conseil de l’Europe et la Cour so
255 Conseil de l’Europe et la Cour sont créés. Puis l’ Assemblée (seulement consultative, hélas) est inaugurée à Strasbourg. La commi
80 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Le mouvement européen
256 yait, comme prochaine étape, la convocation d’une Assemblée européenne, dont les membres seraient élus « dans leur sein ou au-deh
257 e de Bruxelles. Le 18 août notre Memorandum sur l’ Assemblée européenne se voyait accepté sans réserve par le gouvernement françai
258 r au cours des mois prochains sur quatre points : Assemblée , Cour des droits de l’homme, Mesures économiques, Centre de la Cultur
259 sence : nos plans, les résistances à vaincre. L’ Assemblée .— Les fédéralistes ayant fait triompher à La Haye le principe d’une r
260 « Corps consultatif » accepté par les Cinq : à l’ Assemblée constituante de l’Europe, qui pourra seule contraindre les États à s’
261 elle de M. Bevin) tend, au contraire, à réduire l’ Assemblée au rôle purement consultatif d’un petit Congrès d’experts nommés par
262 sistera à transformer le « Corps consultatif » en Assemblée constituante. Cour des droits de l’homme. — On sait qu’une Charte de
81 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
263 . Enfin, au mois de septembre de la même année, l’ Assemblée consultative de Strasbourg votait à l’unanimité une recommandation te
82 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — À la table ronde du Conseil de l’Europe
264 rase prononcée l’an dernier par le président de l’ Assemblée consultative de Strasbourg, Paul-Henri Spaak, répond d’une manière dr
83 1970, {Title}. Discours au Cercle de la presse et des amitiés étrangères (13 octobre 1970)
265 1950, attendant un peu anxieusement le vote par l’ Assemblée européenne d’une résolution accordant à notre Centre l’appui matériel
84 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Note liminaire] (été 1972)
266 te liminaire] (été 1972)dh À l’initiative de l’ Assemblée consultative du Conseil de l’Europe, et sous le patronage conjoint de
267 l de l’Europe, et sous le patronage conjoint de l’ Assemblée et de la Conférence européenne des pouvoirs locaux s’est tenue à Stra
268 s séances plénières ayant lieu dans la salle de l’ Assemblée consultative. Avec l’autorisation des organisateurs, nous donnons ici
85 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
269 appuie sans réserve la Recommandation n° 470 de l’ Assemblée consultative, mentionnant « la possibilité pour les collectivités loc
86 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
270 agir. La Déclaration finale votée par la première Assemblée des régions frontalières, au Conseil de l’Europe, en juillet 1972, de
271 rat social, III, 1 à 3. 27. Conseil de l’Europe ( Assemblée consultative), Confrontation européenne des régions frontalières, Str
87 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
272 lace dans l’amphithéâtre de la Kongresshalle où l’ Assemblée s’est ouverte depuis quelques heures, il me semble qu’une bonne moiti
88 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
273 du Centre européen de la culture (patronné par l’ Assemblée consultative européenne) réunie le 12 décembre, à Genève, au Centre e
274 de la commission culturelle et scientifique de l’ Assemblée consultative européenne ; Gustavo Colonnetti (Italie), président du C
275 s du Journal officiel de la République française, Assemblée nationale , Séance du mardi 6 juillet 1954. Discussion du projet de ratificatio
276 ntion présentement soumise à la ratification de l’ Assemblée . » (p. 3232, col. 2) Enfin, cette dernière déclaration de l’oppositi
89 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
277 défense européenne s’élaborait. À Strasbourg, une Assemblée ad hoc avait chargé Fernand Dehousse de préparer un projet de Constit
278 projet de Constitution européenne, que prépare l’ Assemblée ad hoc de la CECA). 2. Créer une association des « Amis du Centre eur
90 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
279 rtit à l’idée d’un Conseil de l’Europe doté d’une Assemblée . Le 18 août, le Conseil des ministres français décidait de « donner à
280 , la faiblesse du Conseil apparut manifeste : une Assemblée purement consultative, élue par les parlements et non par les peuples
281 s, le secrétariat du Conseil et les couloirs de l’ Assemblée allaient devenir pendant quelques années, le milieu le plus favorable
91 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
282 Maddox, directeur de la revue Nature. Doc. 3233, Assemblée consultative du CE, janvier 1973. 34. C’est le premier dont j’ai eu
92 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
283 es précises : 1790 et 1794. Le 14 janvier 1790, l’ Assemblée constituante décide de faire traduire les nouvelles lois dans les div
93 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 12. Que tout appelle les régions
284 nformations nuisibles à l’accroissement du PNB. L’ Assemblée nationale , dans son rapport sur la pollution du littoral méditerranéen, déplore
94 1978, Articles divers (1978-1981). « Que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? » (22 février 1978)
285 oseront donc pas aux constructions décidées par l’ Assemblée fédérale. Bien sûr. Mais ils sont inconscients. Ils préfèrent un avan
95 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
286 que soit respectée la Charte. 4) Nous voulons une Assemblée européenne, où soient représentées les forces vives de toutes nos nat
287 ait voter l’important amendement que je cite : L’ Assemblée considère comme le but et l’objectif du Conseil de l’Europe de créer
96 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
288 s États, c’est vrai, mais cependant dotée d’une «  Assemblée des nations européennes, composée de députés élus à raison d’un déput
97 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
289 la création d’un Conseil de l’Europe doté d’une «  Assemblée où soient représentées les forces vives de toutes nos nations ». Cett
290 neuf mois, l’Europe est-elle née ? Mais non : son Assemblée sera purement consultative et formée de députés désignés par les dive
291 uni à La Haye en mai 1948, devait comporter une «  Assemblée européenne où seraient représentées les forces vives de toutes nos na
292 ’Europe, inauguré en 1949, n’a été doté que d’une Assemblée consultative, formée de députés non pas élus mais nommés par les parl
293 o populaire. Il importe de ne pas confondre cette Assemblée consultative avec le Parlement de la CEE, créé par le traité de Rome,
294 Rome signé en 1957. Une fois le Parlement élu, l’ Assemblée consultative du Conseil de l’Europe gardera pour raison d’être princi
295 s Deniau. D’où la Commission responsable devant l’ Assemblée , elle-même élue au suffrage européen, d’où le vote à la majorité qual
296 Commission devait devenir l’exécutif européen, l’ Assemblée élue la Chambre des représentants, et le Conseil des ministres le Sén
297 déral, et ne peut fonctionner qu’à l’unanimité. L’ Assemblée , élue ou non, n’a pas devant elle la Commission mais le Comité des mi
98 1979, Articles divers (1978-1981). Rapport au peuple européen (9 mai 1979)
298 : la première élection au suffrage universel de l’ Assemblée parlementaire des neuf pays de la Communauté, personne ne s’est encor
99 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
299 la souveraineté nationale, et de l’élection de l’ Assemblée européenne au suffrage universel, ils ont tout dit, et le contraire,
300 1967) : Sur l’élection au suffrage universel de l’ Assemblée européenne, le général est positif : « On ne fera pas l’Europe si on
301 . J. Vendroux, beau-frère du Général, déclare à l’ Assemblée nationale , en 1959, « qu’il s’est toujours montré partisan d’élections européen
302 i implique l’élection au suffrage universel d’une Assemblée régionale délibérante et l’existence d’un exécutif régional responsab
100 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
303 té suprême de la Confédération sera exercée par l’ Assemblée fédérale, qui se composera de deux chambres : le Conseil national, fo
304 nseil fédéral composé de sept membres, élus par l’ Assemblée , et qui dirigent chacun un département fédéral (ou ministère). Ces mi
305 tout au long de la campagne pour l’élection de l’ Assemblée des Neuf, elle devient très révélatrice du taux de sincérité des part